Quand le jour s’en va se coucher,
Le métro ramène les gens
Chez eux, dans leur appartement,
Afin qu’ils puissent allumer
Les veilleuses de la Cité.
Alors la nuit timide approche,
Evitant les rues de débauche,
Pour tranquillement s’installer.
Il lui faudra un peu de temps
Pour réussir à s’endormir,
Bien des quartiers sont si bruyants
Dans ces villes en devenir.
Au petit matin elle file,
Avant même d’être aperçue,
Au bout du monde une autre ville
Compte déjà sur sa venue.